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Sommaire du blog
Les sujets traités dans l'ordre:
-Euro 2008
-Primes de competitions
-Classement salaires 2008
-Droits TV ligue 1
-Nike partenaire equipe de france
-Les produits derivés
-Sponsoring maillot
-Salaires ligue 1
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Les sujets traités dans l'ordre:
-Euro 2008
-Primes de competitions
-Classement salaires 2008
-Droits TV ligue 1
-Nike partenaire equipe de france
-Les produits derivés
-Sponsoring maillot
-Salaires ligue 1
Outre la gloire et le gain d’un titre, les seize équipes participantes à l’Euro-2008 auront aussi des motivations sonnantes et trébuchantes: l’UEFA leur distribuera 184 millions d’euros de primes, dont 60 millions sur la base de leurs performances sur le terrain. A l’instar des recettes générées par la vente des droits TV et des licences (plus d’un milliard d’euros), le pactole global à répartir a cru de plus de 40% par rapport à la dernière édition de l’Euro au Portugal. En 2004, les équipes ne s’étaient partagées "que" 129 millions d’euros.
Chaque équipe en lice recevra 7,5 millions d’euro pour couvrir les frais de participation, contre 4,8 millions au Portugal.
Ensuite, le reliquat de plus de 64 millions sera attribué selon les
résultats de chacun. En phase de poule, une victoire rapportera 1
million, un nul 500 000 euros.
Le système de répartition est légèrement différent pour la deuxième phase. Les huit équipes qualifiées pour les quarts de finale recevront 2 autres millions, les quatre demi-finalistes 3 millions, le finaliste 4,5 millions et enfin le vainqueur 7,5 millions.
Aucun dédommagement spécial n’est prévu pour une équipe sortie après les prolongations ou les tirs au but à l’issue d’un match nul pendant le temps réglementaire.
Tout cumulé et si elle gagne tous ses matches, la sélection qui soulèvera la Coupe Henri Delaunay pourra amasser jusqu’à 23 millions.
Championne d’Europe en 2004, la Grèce, créditée en poule d’une
victoire (2-1 contre le Portugal), d’un nul (1-1 contre l’Espagne) et
d’une défaite (1-2 contre la Russie), n’avait pas atteint le plafond de
17,7 millions fixé à l’époque.
Cette pluie de millions ruisselle dans les caisses des fédérations, qui
reversent selon des modalités propres une partie aux footballeurs.
Indirectement cet argent finira aussi dans les trésors suisses et autrichiens. Les primes de matches des joueurs seront imposées à la source à hauteur de 20%. Grâce donc à la hausse des primes décidée par l’UEFA, dirigée par l’ancien champion d’Europe français Michel Platini, l’Autriche et la Suisse peuvent espérer au total entre 2,5 et 5 millions d’euros de recettes fiscales.
Compétitions |
Vainqueur |
Finaliste |
Demi-finaliste |
Victoire en poules |
Match nul en poules |
Coupe du Monde 2006 |
15,5 M€ |
14,2 M€ |
13,6 M€ |
- |
- |
Ligue des Champions |
6,4 M€ |
3,9 M€ |
2,6 M€ |
321 000 € |
161 000 € |
Coupe de la Ligue |
2,2 M€ |
1,5 M€ |
0,8 M€ |
- |
- |
Coupe de France |
1,8 M€ |
1,2 M€ |
0,61 M € |
- |
- |
Euro (2004) |
6,5 M€ |
3,8 M€ |
2,6 M€ |
653 000 € |
326 000 € |
Source : FIFA, UEFA, FFF, LFP / 2006
Source
Les valeurs sûres sont au rendez-vous. David Beckham avec ses 31 millions d'euros annuels (salaires et revenus annexes) et Ronaldinho avec ses 24,1 millions d'euros occupent les deux premières places de la dixième édition des « Salaires des stars » de France Football. Mais la jeunesse montre le bout de son nez. Le prodige argentin du FC Barcelone, Lionel Messi (23 millions d'euros), accède au podium. Et l'artiste portugais de MU, Cristiano Ronaldo (19,5 millions d'euros) se classe au quatrième rang. Ce millésime 2008 du Top 20 de FF présente de nombreux éléments marquants, avec l'arrivée de Thierry Henry dans les cinq premiers et le recul des footballeurs de la Serie A.
Chez les entraîneurs, José Mourinho (29 millions d'euros), même sans club, conserve pour la troisième année consécutive, la première place devant Fabio Capello (14,2 millions d'euros) et Sir Alex Ferguson (7,4 millions d'euros).
Classement joueurs :
1. David Beckham (Los Angeles Galaxy) : 31 millions d'euros
2. Ronaldinho (FC Barcelone) : 24,1 millions d'euros
3. Lionel Messi (FC Barcelone) : 23 millions d'euros
4. Cristiano Ronaldo (Manchester United) : 19,5 millions d'euros
5. Thierry Henry (FC Barcelone) : 16,8 millions d'euros
6. John Terry (Chelsea) : 13,9 millions d'euros
7. Michael Ballack (Chelsea): 13,8 millions d'euros
8. Ronaldo (Milan AC): 13,4 millions d'euros
9. Kaka (Milan AC): 12,9 millions d'euros
10. Steven Gerrard (Liverpool): 11,8 millions d'euros
L’opérateur téléphonique Orange a décroché trois des douze lots mis en vente par la Ligue de football professionnel pour la diffusion du championnat de Ligue 1 de 2008 à 2012, dont les droits sur mobile et ceux de la VOD. Candidat également sur ce dernier point, Dailymotion revient bredouille.
668 millions d'euros par an : c'est ce que valent, pour la période 2008-2012, les droits de diffusion de la ligue 1 de football. C'est mieux que les 660 millions annuels récoltés jusque là depuis 2004, dont pas moins de 600 millions étaient payés par le groupe Canal +. Ce dernier paiera désormais « seulement » 460 millions d'euros par an, les 208 millions restant allant être déboursés par Orange.
Les deux opérateurs sont en effet les seuls, parmi neuf candidats en lice, à avoir été retenus hier par la Ligue de football professionnel (LFP) lors du second tour de l'appel d'offre pour les droits de diffusion du championnat de France de Ligue 1 sur la période allant de 2008 à 2012. Le premier tour qui avait eu lieu jeudi 31 janvier n'avait donné lieu à aucune attribution, les prix de réserve de la LFP n'ayant pas été atteints.
( source: cnetfrance.fr )
Pour 42,66 M€ par saison, Nike et sa virgule orneront le maillot de l’équipe de France de football à partir de la saison 2011. Le contrat signé avec la FFF met fin à 40 ans de mariage avec Adidas.
« Nike versera à la Fédération une contribution financière garantie de 320 M€ sur la durée du contrat, soit une moyenne de 42,66 M € par saison (le contrat s’étalant sur sept saisons et demie), a fait savoir la Fédération dans un communiqué. A cette contribution s’ajouteront une dotation en équipements de 2,5 M€ par saison complète et des primes liées aux performances de l'équipe de France lors des phases finales de la Coupe du Monde et de l’Euro. Au total, le nouveau contrat apportera à la Fédération des ressources quatre fois et demie supérieures à celles que lui procure le contrat actuel. » La FFF se frotte donc les mains : ce coup de maître fait du maillot bleu la tenue de football la plus chère du monde, loin devant l’Angleterre (Umbro), l’Allemagne (Adidas), l’Italie (Puma) ou bien sûr le Brésil (Nike également).
( source: fr.sports.yahoo.com )
Pour plus d'information:
Chaque club réalise en moyenne 10 % de ses recettes grâce aux produits dérivés : maillots, écharpes, parfums...
L'OL est encore en pointe dans ce domaine : la marque se décline
sous 250 produits dérivés différents, tandis que plusieurs filiales
concernent les transports (taxis), les services (coiffure ou voyages),
les médias (télévision)... Près d'un cinquième de son budget est dû aux produits dérivés.
Le Racing club de Lens réalise lui 5 à 6 millions d’euros de chiffre
d’affaires par an avec ses produits, soit 10 % du budget du club.
L'agence Sport+ Markt AG a conduit une étude sur les dépenses des supporters en matière de produits dérivés des clubs de football. Sur les cinq marchés étudiés (Royaume-Uni, France, Italie, Espagne et Allemagne), il ressort une dépense globale de près de 7 milliards d'euros en 2005. Surprise : la France est au 2e rang derrière le Royaume-Uni. Mais elle a encore de la marge pour rattraper les Anglais.
( source: linternaute.com )
Pour que sa marque figure sur le maillot d'un club "phare" de Ligue 1, une entreprise doit compter au minimum 6 millions d'euros par an. Par club "phare", on entend l'Olympique Lyonnais, le PSG, l'Olympique de Marseille, les Girondins de Bordeaux... En résumé, des clubs au palmarès important. Pour les clubs qui sont depuis moins longtemps en Ligue 1 ou qui ont une image de marque moins affirmée, le ticket d'entrée pour un sponsor est de 850 000 euros.
Actuellement, le maillot le plus cher de Ligue 1 est celui (oh surprise !) de Lyon. En 2006, le club a signé un partenariat le liant pour 5 ans au groupe hôtelier Accor. Celui-ci versera 9 millions d'euros par an : 6 millions par an pour que "Novotel" figure sur les maillots de l'OL à domicile et 3 millions pour "Ticket Restaurant" (à l'extérieur).
Un partenaire majeur de la Coupe de France devra débourser environ 4 millions d'euros pour être présent sur les maillots. Concernant la Coupe de la Ligue, le montant serait d'environ 2,5 millions.
( source: linternaute.com )
En moyenne, un joueur évoluant en Ligue 1 touche 40 000 euros par mois, soit 480 000 euros bruts par an. Ce chiffre cache évidemment de grandes disparités. Les clubs restent très discrets sur les sommes versées à leurs joueurs.
En Ligue 2, les salaires s'échelonnent entre 2 015 et 20 000 euros par mois.
La différence est donc énorme entre le salaire d'un joueur de Ligue 1 et de ligue 2 française mais cette différence est encore plus grosse avec nos plus proche voisins comme par exemple l'Italie et plus précisément le Milan A.C qui offre un salaire d'environ 750.000€ par moi, soit 9.000.000€ annuel à Kaka.
( source: linternaute.com )